
La narratrice arrive aux beaux-arts avec des rêves plein la tête, elle fait connaissance de Luc et Lucie qui partagent avec son goût pour la peinture. En rupture avec les courants artistiques des années 2000, le petit groupe se retrouve isolé, réduit à fréquenter les sous-sols des beaux-arts, moqué souvent. Parmi, les peintres étudiés peu sont des femmes, la narratrice se rebiffe …
Roman très intéressant qui évoque les années Beaux-arts de l’auteur. Le sujet de ce livre me semble complémentaire à mon propre récit que j’ai édité cette année « Frère et sœur, À chacun son chemin » bien que le passage aux Beaux-arts de mon frère se situe à la fin des années 80. L’obligation de se remettre en question imposée aux jeunes étudiants les déstabilisait déjà énormément. L’emploi du pronom personnel « tu » comme narrateur m’a un peu surprise.